Kinshasa - Kisantu - Kwilu-Ngungu - Matadi - Boma - Kangu
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Lors de notre retour vers la Capitale, notre chauffeur, sans notre autorisation, a pris l'initiative d'acheter une petite chèvre vivante et de l'emmener à Kinshasa dans le coffre de notre véhicule.
Quoique allant à l'encontre des coutumes d'entraide dans ce pays, nous nous y sommes opposés.
Personnellement, ma sensibilité ne pouvait supporter de voir cette charmante créature passer deux jours et une nuit dans si peu de place !
Après une longue palabre, l'intruse a retrouvé sa liberté et fut remplacée par une T.V., chaîne Hifi, etc...
Notre chauffeur ayant terminé son shopping, n'avait plus qu'une idée en tête : retrouver la Capitale pour tester son matériel, et faire la fête. C'est donc, de façon un peu précipitée, que nous avons retrouvé notre chambre chez les Capucins avant notre départ pour Bruxelles le surlendemain.
Comme toujours, je garde de ce troisième voyage au Congo, des souvenirs impérissables.
C'est sous un coucher de soleil de toute beauté que nous atteignons la Mission Catholique de Kangu, ultime but de mon voyage au Bas Congo.
Force est de constater que les missionnaires avaient bon goût quant à l'emplacement de leur implantation.
Située à 150 kms de la Capitale.
Il s'agit d'un tunnel naturel se trouvant aux pieds d'une grande montagne. Découverte en 1914 par un citoyen Belge. Cet endroit sert de refuge aux vampires, espèce de chauve- souris.
Pour y accéder, la piste est très difficile et, à plusieurs reprises nous avons dû quitter notre véhicule pour que notre chauffeur puisse avancer. La moindre erreur nous aurait été fatale. Je pense que c'est une folie de vouloir, absolument, utiliser la jeep pour éviter de faire un peu de distance à pieds.
Ce site vaut vraiment le déplacement et les difficultés rencontrées sont vite oubliées.
Doit son nom au grand chef Ebona qui régnait naguère sur le Royaume de Songo.
La première église construite au Congo, en 1890, l'a été ici, sur la montagne du Saint Esprit. Il s'agit d'une minuscule bâtisse métallique dont toutes les pièces préfabriquées avaient été débarqué d'un bateau.
Se dresse également, dans cette ville, le baobab de Stanley, ainsi appelé parce que le célèbre explorateur aurait, selon la légende, passé sa première nuit à Boma, caché dans le tronc creux de ce mastodonte de la savane.
Le retour :
Lors de notre retour vers la Capitale, notre chauffeur, sans notre autorisation, a pris l'initiative d'acheter une petite chèvre vivante et de l'emmener à Kinshasa dans le coffre de notre véhicule.
Quoique allant à l'encontre des coutumes d'entraide dans ce pays, nous nous y sommes opposés.
Personnellement, ma sensibilité ne pouvait supporter de voir cette charmante créature passer deux jours et une nuit dans si peu de place !
Après une longue palabre, l'intruse a retrouvé sa liberté et fut remplacée par une T.V., chaîne Hifi, etc...
Notre chauffeur ayant terminé son shopping, n'avait plus qu'une idée en tête : retrouver la Capitale pour tester son matériel, et faire la fête. C'est donc, de façon un peu précipitée, que nous avons retrouvé notre chambre chez les Capucins avant notre départ pour Bruxelles le surlendemain.
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| Le fleuve |
Comme toujours, je garde de ce troisième voyage au Congo, des souvenirs impérissables.
Kangu :
C'est sous un coucher de soleil de toute beauté que nous atteignons la Mission Catholique de Kangu, ultime but de mon voyage au Bas Congo.
Force est de constater que les missionnaires avaient bon goût quant à l'emplacement de leur implantation.
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| Magnifique nature |
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| Endroit où mon cousin a enseigné |
Grottes Mbanza-Ngugun :
Située à 150 kms de la Capitale.
Il s'agit d'un tunnel naturel se trouvant aux pieds d'une grande montagne. Découverte en 1914 par un citoyen Belge. Cet endroit sert de refuge aux vampires, espèce de chauve- souris.
Pour y accéder, la piste est très difficile et, à plusieurs reprises nous avons dû quitter notre véhicule pour que notre chauffeur puisse avancer. La moindre erreur nous aurait été fatale. Je pense que c'est une folie de vouloir, absolument, utiliser la jeep pour éviter de faire un peu de distance à pieds.
Ce site vaut vraiment le déplacement et les difficultés rencontrées sont vite oubliées.
Boma :
Doit son nom au grand chef Ebona qui régnait naguère sur le Royaume de Songo.
La première église construite au Congo, en 1890, l'a été ici, sur la montagne du Saint Esprit. Il s'agit d'une minuscule bâtisse métallique dont toutes les pièces préfabriquées avaient été débarqué d'un bateau.
Se dresse également, dans cette ville, le baobab de Stanley, ainsi appelé parce que le célèbre explorateur aurait, selon la légende, passé sa première nuit à Boma, caché dans le tronc creux de ce mastodonte de la savane.
La route qui mène vers Matadi est de toute beauté, passant du vert clair au vert foncé, de descente en montée. Juchée sur les collines, la ville se fond dans la rocaille. Dans cette cité, il faut savoir conjuguer les verbes monter, descendre et transpirer.
Matadi est un grand port accessible aux navires de haute mer qui relie le Congo au reste du monde.Le matériel d'équipement nécessaire à l'industrie congolaise, les camions, les voitures et toutes les marchandises lourdes y débarquent. Et c'est de là que partent les produits qu'exporte le pays aux quatre coins du monde.
C'est également un port de pêche.
Un gigantesque pont a été construit par les Japonais et ceux-ci en assurent toujours la maintenance.
